Flocons de coton, beurre de karité et cette Centrafrique qui ne baisse pas les bras
Lettre d’information du Carmel de Bangui n° 28, 14 septembre 2020
Il est assez facile, en Centrafrique de baisser les bras. Cela arrive même aux plus têtus. Mais il y a une petite armée d’hommes et de femmes, centrafricains de naissance ou d’adoption, qui refusent de jeter l’éponge et qui, sans trop faire parler d’eux-mêmes, se battent pour une Centrafrique meilleure. Une Centrafrique différente de celle qui est décrite par les chroniques de ces soixante ans d’indépendance qu’on vient de célébrer. Chaque voyage en compagnie de mes jeunes séminaristes est toujours l’occasion de rencontrer certains de ces héros involontaires. Je voudrais vous les présenter.